A tous justes 4 ans, Grégory Villemin est victime d’un meurtre atroce. 37 ans après son enterrement, ses parents décident de l’exhumer.

L’histoire du petit Grégory Villemin a beaucoup secoué la France. Aujourd’hui encore, le mystère de sa mort reste recouvert d’un voile. Cependant, ses parents prennent une nouvelle décision bouleversante.

Un crime à glacer le sang

Entre 1984 à 2005, la police criminelle française enregistrait plusieurs meurtres. Tous pour la plupart restent un mystère. Femme, homme et enfants, personne n’est à l’abri. Passionnel ou à titre de vengeance ? Les meurtres inquiètent de plus en plus la France. Il y a de quoi, puisque très peu sont élucidés. Mais plus que d’autres, le cas d’un petit garçon tourmente les Vosges. En effet, l’affaire Grégory Villemin a été suivie par des millions de Français. Malheureusement sans grand succès.

Le 16 octobre 1984, le corps de Grégory Villemin est repêché dans la Vologne. D’abord suspectés du meurtre, ses parents sont vite lavés de tout soupçon. Cependant, après 37 ans de recherche, le coupable court toujours. Toujours ensemble, le couple a reconstruit leur vie ailleurs avec leurs enfants. Toutefois, après la clôture du dossier Grégory Villemin, ils prennent une nouvelle décision. En effet, les parents d’Emelyne et Simon ont exhumé et incinéré leur fils aîné.

Respect au petit Grégory Villemin

 

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Christine et Jean-Marie ne perdent ne perdent pas espoir de trouver le vrai meurtrier. En effet, même si l’affaire a été « bouclée », le coupable court toujours.Après près de 4 décennies, l’enquête est restée une épreuve pour la ténacité judiciaire. Pire pour le couple, qui a vécu un réel enfer durant tout ce temps. D’ailleurs leur choix d’incinérer Grégory Villemin a soulevé quelques questions. Toutefois, les époux semblent avoir pris une sage décision.

Impossible d’abandonner Grégory dans le cimetière de Lépanges. Les parents de Gregory Villemin ne pouvaient se résoudre à retourner dans les Vosges. De plus, ils ne tenaient aucunement à faire des rencontres. Me Chastant, avocate de la famille, en dit long sur le sujet. De plus, selon Etienne Sesmat, la tombe du petit garçon suscitait une curiosité inappropriée et même malsaine. « Cette tombe était devenue quasiment un lieu de pèlerinage » selon ses dires.