L’épouse du Prince Albert de Monaco est absente du rocher depuis plusieurs mois pour des raisons de santé. Néanmoins, leurs jumeaux reçoivent tout l’amour et l’attention dont ils ont besoin de leur famille.
Charlène de Monaco est convalescence
La princesse Charlène a été hospitalisée en Afrique du Sud il y a plusieurs mois à la suite d’une infection ORL et prise de grosses fatigues. À peine retourner sur le Rocher, elle est admise dans une clinique privée en Suisse. Elle s’y est rendu pour continuer sa convalescence et pour se remettre d’aplomb.
Suite à de nombreuses rumeurs et spéculations, Albert de Monaco a donné une interview pour éclaircir les choses. Il a expliqué que son épouse a besoin de calme et de repos loin de la pression médiatique. Une mise au point qui n’a pas convaincu la presse. C’est pourquoi, elle est toujours à la recherche de la vraie maladie de Charlène de Monaco.
Albert de Monaco fait appel à des renforts
Puisque les enfants d’Albert de Monaco n’ont pas vu leur mère depuis plusieurs mois, il peut compter sur le soutien des membres de sa famille. Les jumeaux Jacques et Gabriella peuvent se fier aux sœurs de leur père, les princesses Caroline et Stéphanie de Monaco.
Albert de Monaco peut également se fier à la famille de son épouse, surtout à son frère Gareth Wittstock. Lui-même père de deux enfants, Kaia et Bodhi, il sait comment s’y prendre avec les enfants. De plus, la petite famille Wittstock vit à Monaco et consacre beaucoup de temps aux enfants de sa sœur.
Étant donné que les parents de la princesse n’habitent pas à Monaco, ils ne cessent pas de prendre des nouvelles de leurs petits-enfants. dans ces conditions, ils s’appellent souvent pour converser avec leur famille en Afrique du Sud.
Albert de Monaco est confiant
Même dans un état critique, le Prince Albert de Monaco est confiant de pouvoir rendre visite à sa femme. En attendant ce moment, ses enfants, Jacques et Gabriella recevront beaucoup de réconfort de la part de ses proches, affirme Mike Wittstock, le père de Charlène de Monaco.
