Dans cet article, nous allons vous raconter l’histoire d’une femme qui utilise des codes achetés sur le darknet pour ses courses. Il s’agit d’une arnaque à la carte de fidélité, avec un montant détourné compris entre 3.700 et 4.700 euros. Par conséquent, les détenteurs de cartes fidélité Waaoh chez Auchan doivent rester prudents face au vol de cartes.

Arnaque à la carte de fidélité


En effet, La Voix du Nord rapporte l’histoire de cette femme qui utilise des codes achetés sur le darknet pour ses courses. La femme en question se retrouve se retrouve arrêtée par la police le 12 avril pour cette arnaque à la carte de fidélité. Elle utilise codes achetés sur le darknet dans un supermarché de Béthune.

Une caissière finit par découvrir les magouilles de cette femme quand elle décide de régler ses courses d’une valeur de 287,24 euros. Notamment, par le biais d’une carte de fidélité sur son téléphone au nom d’une autre personne.
Par conséquent, elle décide d’avertir ses supérieurs, la femme en question se retrouve démasquée et interpellée par les policiers. Cette affaire met en évidence le besoin urgent d’une meilleure sécurité pour les cartes de fidélité.

Un montant détourné compris entre 3.700 et 4.700 euros


En effet, selon les propos de La Voix du Nord, la suspecte a acheté douze cartes de fidélité piratées sur le darknet appartenant à d’autres clients. Elle utilise les identifiants de ses victimes pour payer ses achats et vider leurs économies Waaoh. Notamment, un montant détourné entre 3 700 et 4 700 euros.

Dans ce sens, cette femme accusée d’une arnaque à la carte de fidélité évoque des difficultés financières pour tenter de se justifier. La femme en question affirme avoir du mal à joindre les deux bouts dans le cadre son interrogatoire. Elle souhaite ainsi trouver des moyens de gagner de l’argent rapidement.

Elle utilise des codes achetés sur le darknet pour ses courses


En même temps, la police a découvert que l’accusée continue d’utiliser les cartes de fidélité d’autres personnes jusqu’en février 2022. Et pourtant, elle se retrouve déjà condamnée en décembre 2021 pour des infractions similaires. La suspecte ne parvient pas à abandonner son comportement délictueux malgré sa condamnation.

Par conséquent, elle se retrouve condamnée à six mois de prison avec une amende de 1 000 euros. La suspecte subit une assignation à résidence sous surveillance électronique avec une obligation de traitement psychologique et de travail. Cette décision favorise la réintégration de la suspecte dans la société, afin qu’elle puisse trouver un emploi pour rembourser les sommes détournées.