Les responsables de cette arnaque au « faux président » enregistrée en France ont volé plus de 38 millions d’euros à deux entreprises. Dans ce sens, ces huit hommes qui se font interpellés ont usurpé l’identité du PDG des entreprises victimes de l’arnaque. En même temps, ces arnaques aux faux ordres de virements se multiplient avec le développement d’internet, mieux vaut rester vigilent.
Arnaque au « faux président »
Dans ce sens, le malfaiteur vise à convaincre le salarié de réaliser un faux ordre de virement.
Apparemment, le parquet de Paris décide de rendre leur liberté aux six suspects interpellés en France en juin 2022.
Par ailleurs, une source proche du dossier confie qu’aucune demande d’extradition n’a été formulée pour les deux arrestations en Israël.
Notamment, la police française parvient à saisir au total 3,9 millions d’euros d’avoirs criminels, dont 700 000 euros en cryptomonnaies.
Usurpation d’identité
Par la suite, la direction finit par déceler l’escroquerie et décide de porter plainte au commissariat du 14e arrondissement de Paris.
Dans ce sens, une société de métallurgie de Haute-Marne également victime de cette magouille subit une perte de 300 000 euros.
Apparemment, un homme usurpant l’identité du patron de l’entreprise appelle le comptable et lui demande d’effectuer un virement sur un compte hongrois.
En même temps, l’usurpateur souligne qu’il s’agit d’une opération financière secrète, demandant au comptable de ne le répéter à personne.
Huit hommes interpellés
En effet, pour parvenir à retrouver ces huit hommes, les enquêteurs ont eu recours à un logiciel de reconnaissance faciale.
Dans ce sens, afin de les identifier dans le TAJ, traitement d’antécédents judiciaires.
Apparemment, les malfaiteurs ont souvent tendance à laisser leurs vraies photos sur les faux papiers.
Par ailleurs, cette affaire toujours en cours dépasse le précédent record en France qui remonte à 2013 avec le groupe Vallourec.
Notamment, à cette époque, cette arnaque aux faux ordres de virements également appelé arnaque au président rapporterait 23 millions d’euros.