Le vandalisme est devenu monnaie courante en France ! De nombreux monuments en ont déjà payé les frais dont la stèle de Simone Veil. De quoi faire réagir Benjamin Castaldi !

C’est un véritable drame qui s’est déroulé récemment. Certains actes de vandalismes ont beaucoup touché la France. Et parmi les plus choqués, Benjamin Castaldi s’est exprimé sur le sujet. On vous en donne les détails !

Des actes condamnables selon la préfecture

Le 12 août, la gendarmerie lance un appel à témoins afin de retrouver les fauteurs de trouble. Il en va de même pour le préfet, Thierry Mosimann. Dans un communiqué de presse, il annonce que les vandales sont passibles d’une condamnation de la plus grande fermeté.
Selon les informations, l’acte aurait été commis le samedi matin après 8 heures. Immédiatement, les gendarmes sont mobilisés pour retrouver les coupables. Sur France 3, le marie de Perros-Guirec n’hésite pas à qualifier les coupables de “personne perturbée, incohérente”.

La stèle érigée en hommage à Simone Veil, une pierre entourée de fleurs, a encore été une fois souillée. Cet édifice sur le parvis de la mairie de Perros-Guirec subit pour encore une fois un acte de vandalisme. Cet acte scandaleux est le 4ème en 2 semaines à peine. En effet, inaugurée en 2018, la pierre commémorative est le théâtre de dégradation la nuit du 1er au 2 août, puis du 8 au 9 et enfin du 10 au 11. Les inscriptions sont des plus effrayants, avec des croix gammés, des tags anti-avortement ou encore antisémites.

Benjamin Castaldi réagit face à ce drame !

Face à ce scandale, Benjamin Castaldi élève la voix. Dans sa story, le chroniqueur de TPMP montre sa colère. “Les incultes et les semeurs de haine peuvent essayer de la salir, jamais ils ne parviendront à atteindre nos cœurs » peut-on lire.

Ils sont plusieurs à réagir face à cet acte de vandalisme. Parmi eux, Marlène Schiappa, qui laisse un message poignant sur Twitter “Dégrader sa stèle, c’est dégrader la France !” Dans tous les cas, on espère que les vandales seront vite appréhendés et la stèle pourra, enfin, trôner en paix. Rappelons que Simone Veil fut une fervente défenderesse de l’interruption volontaire de grossesse. C’est ainsi que la loi légalisant cet acte porte son nom, en 1975.