Le 17 janvier dernier, Brigitte Macron était la convive d’Anne Claire Coudray sur le plateau du 20 heures de TF1. Lors de cet entretien, la première dame a parlé de la politique de son mari et de ses engagements envers les Français.

Ce jour, elle était venue pour la promotion du lancement de l’opération Pièces Jaunes, un événement dont elle a fait son cheval de bataille.

Brigitte Macron, révélations surprenantes dans TF1


Durant son interview, Brigitte Macron a évoqué la crise sanitaire, qui a rendu difficile la vie de chacun. D’après la première dame, son époux et le gouvernement font tout leur possible pour éradiquer cette épidémie meurtrière. Notant que depuis son apparition, ce virus a déjà fait plus de 70 000 morts. « Ce qu’ont les présidents, les dirigeants, à gérer, pour moi, c’est immense et totalement dantesque. C’est d’une complexité incroyable », a-t-elle déclaré.

Bien évidemment, la femme d’Emmanuel Macron a aussi parlé d’un sujet qui lui tient à cœur. Il s’agissait de la réforme en matière d’inceste. En effet, ce sujet a suscité de vives polémiques après les révélations de Camille Kouchner concernant son ex-beau-père, Olivier Duhamel. « C’est difficile d’en parler, et surtout c’est courageux de l’évoquer. Il faut absolument que ces actes soient découverts et que ces actes ne soient pas dissimulés », martèle Brigitte Macron.

Les ambitions politiques de son mari


Vraisemblablement, Brigitte Macron annonce aussi que très bientôt, l’hôpital aura des équipes qui dépisteront les violences faites aux enfants. Effectivement, ils prendront en main que ce soit les violences physiques, les violences psychologiques, et les violences sexuelles. Par ailleurs, les écoles vont rester ouvertes tout le long du confinement, car aller à l’école est très important.

Quant aux ambitions politiques de son mari, la première dame n’a pas parlé du nouveau mandat à la présidentielle de 2022. « Ce n’est pas sa préoccupation d’aujourd’hui, en tout cas, il ne m’en parle pas. Je n’ai pas le droit de donner mon avis sur ce sujet, et ça me va », confie-t-elle. Par la suite, l’ex-professeur de Français indique que la priorité d’Emmanuel Macron en ce moment reste la crise sanitaire et économique actuelle.

« C’est une décision solitaire, qu’on ne peut prendre que tout seul est lourd. Car il faut être capable de régir la suite. Si on ne sent pas appeler, si on ne se sent pas investi donc ça reste une mission impossible. Je pense que tous les présidents l’ont eu cet appel », a-t-elle rajoutée.