Dans cet article, nous allons parler de cette mère de famille qui se retrouve pénalisée à vie à cause d’une fraude au RSA. La CAF visant à soutenir les foyers les plus démunis n’hésite pas à sanctionner les fraudeurs comme cette habitante des Hauts-de-France. Les cas de fraudes ne cessent de se développer compter tenu du contexte économique actuel mais la caisse parvient toujours à les traquer.
CAF : les allocations se diversifient
En effet, la CAF recherche toujours un bon moyen pour soutenir les foyers les plus démunis face à l’inflation. La caisse verse diverses allocations et primes telles que la prime d’activité. Apparemment, la prime d’activité destinée à ceux qui ont des revenus moindres a un des plus forts taux de recours des allocataires.
Dans ce sens, les critères d’éligibilité dépendent principalement des revenus. L’organisme scrute dans les moindres détails les revenus des éligibles pour déterminer la somme à verser. Néanmoins, les bénéficiaires peuvent utiliser le simulateur sur le site de la CAF pour connaître à l’avance ce montant.
Une mère de famille se retrouve pénalisée à vie
Par ailleurs, les fraudes au RSA ne cessent de se développer dernièrement, poussant la CAF à réagir. Cette aide qui peut s’élever de 526€ à 598€ s’adresse uniquement aux célibataires poussant certaines personnes à frauder.
Notamment, le cas de cette mère de famille qui se retrouve pénalisée à vie. Cette habitante de Lens, dans les Hauts-de-France effectue une fausse déclaration pour percevoir le RSA. En affirmant qu’elle vit seule avec ses enfants, elle touche près de 1906,87€ de RSA tous les mois, de janvier 2017 à décembre 2019.
Cependant, la CAF finit par découvrir cette fraude comme la quadragénaire vivait en couple. Son conjoint touche un salaire tout comme son enfant majeur. La mère de famille se retrouve en garde à vue durant des heures à cause de cette fraude sociale.
Une fraude au RSA en cause
D’un autre côté, une autre mère de famille effectue également une fraude sociale au mois d’août 2022. Elle perçoit 466€ de prime d’activité par mois grâce à une fausse déclaration auprès de la CAF d’Eure-et-Loir. Notamment, par rapport aux indemnités journalières qu’elle touchait de septembre à octobre 2020.
Apparemment, cette femme confie avoir déclaré les revenus de son fils et met de côté cet argent pour la reprise des études de ce-dernier. La mère de famille affirme pour sa défense qu’elle ne s’en sort pas avec 4 enfants à charge sans pension alimentaire. Néanmoins, le tribunal d’Orléans l’a condamnée à rembourser les sommes qu’elle ne devait pas toucher soit 16 000€.