Les retraités français hésitent entre partir ou rester au Portugal à cause de la fin de l’exonération d’impôts. Le Portugal fait partie des destinations favorites des français qui choisissent de vivre à l’étranger après leur retraite. Nous allons vous rapporter dans cet article les confidences d’un retraité concernant cette exonération d’impôts.
Les retraités français partagés entre quitter ou rester au Portugal
En effet, la fin de l’exonération d’impôts en Portugal rend les retraités Français perplexe par rapport à l’avenir. Ce pays faisant partie des destinations favorites des retraités offre une exonération d’impôts sur le revenu pendant dix ans.
Dans ce sens, plus d’un million de Français vivent leur retraite à l’étranger pour profiter sereinement de leur vie. Une fois ce délai de dix ans, les retraités français commencent à se demander s’ils doivent rester au Portugal ou revenir en France.
Les confidences d’un retraité
Notamment, le cas de Willy et sa femme Bernadette, commerçants à la retraite qui ont décidé de s’installer au Portugal. Le couple prend cette décision il y a neuf ans pour la vie si douce dans ce pays.
Willy et Bernadette, originaires du Nord de la France, comme des milliers de retraités français s’installent au Portugal dans les années 2010. Apparemment, l’exonération d’impôts pour une durée de dix ans représente la promesse d’un meilleur niveau de vie.
Fin de l’exonération d’impôts
Cependant, vers la fin de l’exonération d’impôts en Portugal, il faut effectuer une déclaration des revenus comme tout le monde. Willy et Bernadette n’envisagent pas pour autant de revenir en France, ils préfèrent rester au Portugal. Bernadette souligne qu’au Portugal, elle peut manger au restaurant pour 12,50 euros. De plus, la viande, le poisson coûte considérablement moins cher par rapport aux prix en France.
D’un autre côté, d’autres retraités envisagent de partir pour ne pas avoir à payer l’impôt portugais. Daniel et Liliane estiment que se retrouvé taxé 35% représente un trop gros montant pour leur niveau de pension. Le couple préfère donc retourner en France avant la fin du délai de 10 ans pendant lequel l’exonération reste valable.