La Ville de Paris s’agite face à cette hausse importante de la taxe foncière suite à la décision de la maire. Dans ce sens, les élus parisiens du parti Les Républicains décide de boycotter le débat d’orientation budgétaire en guise de protestation. En même temps, Paul Simondon, l’adjoint d’Anne Hidalgo aux finances tente d’apporter ne explication à cette hausse en évoquant l’inflation.

Hausse importante de la taxe foncière


En effet, cette hausse importante de la taxe foncière représente une immense déception après la séance inaugurale du Conseil du Paris.

Dans ce sens, Rachida Dati, maire du 7e arrondissement, et les élus parisiens du parti Les Républicains préfèrent manquer le débat.
Notamment, dans le but de protester contre la décision d’Anne Hidalgo, la maire socialiste de la capitale, d’augmenter la taxe foncière.

Apparemment, cette taxe va augmenter de 7 points, passant de 13,5% à 20,5%, soit une hausse de plus de 50%.
L’absence de Dati provoque l’annulation de dernière minute des échanges entre la maire et sa meilleure adversaire sur ce sujet délicat.

La Ville de Paris s’agite


En effet, cette hausse importante de la taxe foncière représente le reniement de l’engagement de campagne d’Anne Hidalgo.

Dans ce sens, l’opposition de droite tellement ulcérée choisit de ne pas contredire l’exécutif parisien en séance.
Néanmoins, elle n’hésite pas à d’alimenter un net regain de « Hidalgo bashing » en évoquant une atteinte grave à la démocratie locale.

Notamment, Catherine Dumas, sénatrice de Paris et vice-présidente du groupe LR au Conseil de Paris décrit une ville en faillite.
Apparemment, le rapport d’orientations budgétaires reçu par l’opposition avec cinq jours de retard rapporte environ 8 milliards d’euro de dette.

Les explications de Paul Simondon


En effet, Anne Hidalgo avait confié deux mois plus tôt avoir du mal à boucler le budget de la Ville.

Dans ce sens, la maire de la capitale tente le tout pour le tout pour parvenir à compenser les 250 millions d’euros.
En même temps, son adjoint aux finances multiplie les contre-attaques pour justifier cette augmentation drastique de l’impôt local.

Notamment, Paul Simondon cible une majorité gouvernementale qui lorgne de moins en moins discrètement sur une victoire aux prochaines élections municipales.
Apparemment, il déclare que l’Etat a décidé de ne pas soutenir les grandes villes malgré l’inflation et la crise énergétique.