Jacques Dutronc est une icône de la musique française, pendant des générations, il a bercé des oreilles. Connu pour être franc et direct, il s’est livré sur des confidences peu joviales sur sa santé. Depuis maintenant plusieurs mois, sa santé s’est malheureusement dégradée très rapidement.
Une maladie qui le torture
Pour parler du mari de Françoise Hardy et de sa santé, le magazine people France Dimanche lui a consacré un dossier. Le magazine livre des nouvelles très inquiétantes à son égard.
D’après People France Dimanche, le dos serait dans un état très préoccupant. De ce fait, le père de Thomas Dutronc s’étale sur sa santé.
Son fils explique avec humeur : « Il a eu une hernie discale. Un problème de disques, c’est normal pour un chanteur ! ».
Avec l’âge, Jacques Dutronc s’affaiblit
Jacques Dutronc a indiqué avoir été opéré du dos janvier dernier, pourtant les douleurs sont toujours présentes. Il révèle : « Comme tout le monde puisque c’est le mal du siècle. Ça fait beaucoup de maux ».
Il continue dans sa lancée : « Le problème est que plus on vieillit, ce que n’est pas mon cas, plus la voix descend de tons, petit à petit ».
Le mari de Françoise Hardy ajoute : « Je vais finir par parler et chanter comme Amanda Lear… L’ennui, c’est que je ne peux plus jouer de la guitare alors que Thomas joue très bien. Je vais vous montrer pourquoi. »
Une tournée entre père et fils
Thomas et Jacques Dutronc étaient invités dans l’émission de Laurent Delahousse, « 20h30 le dimanche » et ils ont fait une annonce renversante.
Père et fils vont entamer une tournée dans toute la France en duo. Le mari de Françoise Hardy confie : « C’est surtout pour être un peu plus avec lui, je ne le vois pas assez ».
Pour conclure, il ajoute : « Oui, ça va être bien de passer du temps ensemble ». Thomas Dutronc, lui, déclare : « Nous avions enregistré sa chanson Le petit jardin pour la réédition de mon album Frenchy. Un journaliste nous a demandé pourquoi on ne ferait pas une scène ensemble ».
C’est de là que leur sont venue l’idée de la tournée, ils se sont demandés : « Pourquoi pas ? »