Dans son livre, Je les ai tous vus débuter; Doudou Morizot, ex-régisseur de l’Olympia s’est souvenu d’une phrase prononcée par Joséphine Baker sur Johnny Hallyday. Alors qu’aujourd’hui, celle-ci sonne comme une belle prédiction. Détails.

«Je les ai tous vus débuter»


Le 11 février dernier, Doudou Morizot, ex-régisseur de l’Olympia a sorti son livre intitulé Je les ai tous vus débuter. Un ouvrage dans lequel l’homme âgé actuellement de 91 ans revient sur 30 ans passés dans les coulisses de la célèbre salle de spectacle parisienne. Durant lesquels, il a côtoyé plusieurs célébrités. Un récit rempli d’histoires à propos de nombreuses personnalités. Le 17 mars dernier, certains d’entre eux ont été dévoilés dans les colonnes du Parisien.

En effet, Doudou Morizot a parlé notamment des débuts de Johnny Hallyday. Ce dernier qui à l’époque n’avait que 18 ans et a fait son premier concert à l’Olympia. Effectivement, malgré que le taulier était un débutant, il a conquis tous les spectateurs dans la salle, notamment, une certaine Joséphine Baker.

Joséphine Baker a-t-elle déjà prédit l’avenir de Johnny Hallyday ?


Cette dernière était présente lors des répétitions du jeune chanteur. Bluffée par le talent de l’artiste en herbe, elle s’est exclamée : «Ça mes enfants c’est de la bête de scène!». Selon Doudou Morizot, cette phrase de Joséphine Baker sur Johnny Hallyday résonne aujourd’hui comme une prédiction qui s’est réalisée. Pour cause, quelque temps plus tard, la carrière du rockeur a explosé. Aujourd’hui encore, ses fans se souviennent de lui par sa façon d’enflammer le public avec son sens du spectacle.

 

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Durant sa carrière, Doudou Morizot, de son vrai nom Roger Morizot a également eu l’opportunité de partir en tournée avec Johnny Hallyday en 1972. Une belle expérience qu’il n’a pas manqué de raconter dans son ouvrage. D’ailleurs, il n’en garde que de bons souvenirs. Il affirme qu’à cette époque, l’idole des jeunes était « particulièrement mal entourée ». L’ancien régisseur s’est rappelé que le rockeur était parti sur les routes de France avec «une bande de copains qui mettaient le bazar dans sa caravane, qui fumaient ses cigarettes, buvaient son scotch, mangeaient sa nourriture». Mais face à la situation, « Johnny Hallyday ne disait rien » affirme Doudou Morizot.