La collection Yayoi Kusama de Louis Vuitton entraine un véritable engouement sur les vitrines des magasins et sur les réseaux sociaux. Dans ce sens, les internautes ne manquent pas d’exprimer leur point de vue à ce propos, notamment sur la plateforme TikTok. En même temps, les modèles robotisés de l’artiste semblent si réalistes que certains les prenaient pour Kusama en chair et en os.

La collection Yayoi Kusama de Louis Vuitton


En effet, la collection Yayoi Kusama de Louis Vuitton ne capte l’attention que pendant quelques semaines sur les réseaux sociaux.

Dans ce sens, cet engouement retombe rapidement et se transforme en une sensation de frustration à cause de l’épuisement mais également du malaise.
Apparemment, des dizaines de Yayoi Kusama-bots se retrouvent piégés derrière des vitres pour la production abrutissante de ses célèbres pois.

En même temps, leurs yeux suivent les passants pendant qu’ils peignent des taches aléatoires sur les murs de leur prison de verre.
Notamment, les points de Kusama représentent en réalité une méthode salvatrice pour guérir un esprit profondément blessé et très humain.

Illustration de l’auteur


En effet, un internaute qui utilise cette méthode créative pour guérir certains troubles mentales défend cette collection Yayoi Kusama de Louis Vuitton.

Dans ce sens, la figure de Yayoi Kusama s’élève au-dessus de toutes les autres lorsqu’il s’agit de peindre des motifs répétitifs.
Apparemment, il s’agit d’une femme éminente de la scène artistique avant-gardiste des années 1960 à New York.

Et pourtant, la pratique de Kusama est considérée comme étant uniquement la sienne contrairement au cas de ses prédécesseurs.
Notamment, Yayoi Kusama souffrante d’anxiété et de dépression s’inscrit dans un établissement psychiatrique au Japon après avoir survécu à un suicide.

Les explications de l’artiste


En effet, l’artiste affirme que des artistes masculins blancs comme Claes Oldenberg et Andy Warhol ont copié son travail.

Dans ce sens, Yayoi Kusama décide de briser le silence à ce propos dans le cadre du documentaire très acclamé Kusama : Infinity.
Apparemment, ces copieurs ont présenté leurs versions dans des galeries bien établies comme étant les leurs dans les années 60.

Néanmoins, Kusama devient l’artiste féminine vivante la plus rentable au monde et rencontre un succès commercial impressionnant malgré tout.
Notamment, pour sa première collaboration avec Louis Vuitton en 2012, ce-dernier a recouvert des sacs et des manteaux de points assez uniformes.