Dans cet article, nous allons évoquer le taux net de 3% pour le livret A pour vous aider dans le calcul des intérêts. Les 55 millions de détenteurs de ce Livret d’épargne doivent savoir calculer les intérêts pour mieux comprendre le rendement. Le placement le plus populaire en France offre une rémunération beaucoup plus attractive par rapport aux livrets bancaires classiques.
Le calcul des intérêts sur le Livret A
En effet, pour comprendre le rendement offert le taux net de 3% pour le livret A, nous devons maitriser le calcul. Pour ce faire, nous allons déposer 1 000 euros avec un taux de rémunération annuel net de 3%.
Dans ce sens, à la fin de la première année, ces 1 000 euros vont générer des intérêts de 30 euros. Par la suite, les intérêts s’ajoutent automatiquement à votre épargne. Cette situation fait augmenter le capital d’une année à l’autre.
Le taux net de 3% pour le livret A
Par conséquent, les intérêts générés par le Livret A ne sont pas linéaires comme il faut tenir compte de sa capitalisation. Autrement dit, si vous laissez votre épargne sur le Livret A sans y toucher, votre capital augmentera d’année en année.
Dans ce sens, les 1 000 euros peuvent vous rapporter 343,92 euros au bout de 10 ans, soit une somme totale de 1 343,92 euros. Pour obtenir ce résultat, il faut tenir compte des intérêts cumulés.
Une fiscalité avantageuse
Par ailleurs, en plus du taux net de 3% pour le livret A, il se démarque par son traitement fiscal avantageux. Les intérêts générés ne sont pas soumis aux cotisations fiscales et sociales. C’est-à-dire qu’il n’y aura pas de taxe sur les 30 euros que vous gagnez la première année avec 1 000 euros.
Et pourtant, les autres livrets bancaires sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique de 30%. Notamment, le cas de Fortuneo. La raison pour laquelle, on parle de rendement en « brut » et non en « net » comme pour le Livret A.
Cette fiscalité avantageuse représente le plus grand atout de ce placement le plus populaire en France. Son taux varie également en tenant compte de l’évolution de l’inflation, ce qui justifie les dernières revalorisations.