La relation entre les œufs et le cholestérol, une question qui titille les Français consommant 220 œufs par an, ce qui est relativement peu. On sait désormais qu’ils n’augmentent pas le cholestérol au niveau sanguin, l’œuf a des qualités nutritionnelles exceptionnelles. Pourtant sa consommation reste encore aujourd’hui relativement limitée comparativement à d’autres produits du règne animal.

L’effet des œufs sur le cholestérol


Certes, l’œuf reste un aliment riche en cholestérol : pour 100 g d’œufs, le jaune en renferme 398 mg.

Des études ont démontré que les œufs  n’augmentent pas le cholestérol s’ils sont intégrés dans des plats de qualité. Apparemment, ce sujet du taux de cholestérol dans les œufs provoque une grosse discussion polémique. Cependant, le cholestérol provenant de l’alimentation n’est pas un problème en soi, méfions-nous de notre taux de cholestérol sanguin.

Le cholestérol sanguin entraine des risques cardiovasculaires, qui peut mener à des morbidités liées aux plaques d’athéromes et se développe dans les vaisseaux sanguins.

La consommation de cholestérol


En outre, la question sur le gras que nous pouvons consommer en été pour notre bien-être et santé intéresse le public.

Dans ce sens, l’hypercholestérolémie se mesure selon le terme de cholestérol total. Notamment, les taux de « mauvais » (LDL-c) et de « bon » cholestérol (HDL-c), ainsi qu’un cinquième du taux de triglycérides.

Apparemment, ce taux ne doit pas dépasser les 2 g/l, le taux de cholestérol LDL est considéré reste inférieur à 1,6 g/l. Par ailleurs, pour les patients présentant un ou plusieurs facteurs de risque cette valeur limite est de 1,3 g/l. Par conséquent, il faut prendre des mesures thérapeutiques lorsque le taux dépasse ces valeurs limites.

Allergies aux œufs


Finalement, les œufs et le cholestérol au niveau sanguin, l’œuf a le champ libre et son allergie reste l’une des plus fréquentes.

Elle apparaît majoritairement au cours de l’enfance et toucherait jusqu’à 2,5 % des enfants entre 0 et 5 ans. Généralement, ils apparaissent quelques minutes jusqu’à quelques heures après la consommation d’œuf.

Cependant, la majorité des enfants allergiques aux œufs finissent par développer une tolérance dans l’enfance et pendant l’adolescence. Notamment, développer une allergie à l’œuf à l’âge adulte reste peu probable, bien que quelques cas aient déjà été recensés.