Tous les ans, l’image de Miss France n’arrive jamais à se dérouler sans encombre. Soient les rumeurs ternissent son image soient les autres polémiques. Toutefois, beaucoup de téléspectateurs suivent encore et encore l’émission peu importe les circonstances. Malgré la pandémie du Coronavirus de l’année dernière, l’élection Mis France a eu lieu d’être en décembre dernier. Sauf que c’était les conditions qui ont dû changer, c’était une évidence pour tous. Puis, le comité tenait toujours à cœur que les Français fassent de leur préférée leur Miss. Pour cette année, il s’agit d’une association féministe qui s’en prend au programme. C’est-à-dire Miss France et Endemol.

L’émission la plus sexiste


En récurrence, c’est cette attaque qui revient année après année. La société Miss France ne donne une image de modèle féminin complètement centré sur des mannequins. Mettant une large partie de la population féminine française hors de leur section car elles seraient jugées reprochable. Définir une femme est devenue une idéologie non commune en 2021. Pour cette année, la présidence de la société Miss France est aux mains d’Alexia Laroche-Joubert. Cette dernière est derrière les créations audiovisuelles cultes à l’instar de Star Academy et Koh-Lanta. Tous les détracteurs doivent maintenant lui faire face, surtout cette association féministe qui l’a pris d’assaut.

 

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Les prud’hommes ont reçu le message sexiste venant de l’association Osez le féminisme


La polémique a été lancée d’abord par un tweet sur ce réseau social. On pouvait lire : “La justice devra se prononcer sur cette émission d’un autre”. Car la France, selon eux, est témoin que cette émission n’existe que pour “juger, scruter, noter, classer dans un sexisme décomplexé”. Lors de son passage chez Le Monde, la présidente de l’association, Alyssa Ahrabare déclare ceci. Que chaque année, ils ont beau protester contre la société Miss France, ils n’observent aucun résultat. Alors, pour cette édition, ils ont pris la décision “d’utiliser le droit” afin que la cause des femmes avance

Cependant, pourquoi cette fois-ci diffère-t-elle des sessions précédentes ? Les prud’hommes entrent dans le jeu car les règles sont contradictoires au code du travail. Ce code ne tient pas compte des critères liés à l’apparence physique ou la situation personnelle. L’actuelle présidente a donc tenu à s’exprimer face à ses détracteurs car elle n’en peut plus “de cette culpabilisation de ces jeunes femmes”. Elle trouve que c’est “archaïque”. Car être féministe se définit comme maître de ses décisions. Avoir son indépendance.