Toujours hospitalisé, Pierre Palmade ne peut plus en sortir. Il vient d’apprendre une très mauvaise nouvelle, son cas s’aggrave.
Plus de rires, place au drame
Si on connait surtout Pierre Palmade grâce à sa carrière d’humoriste, il est désormais connu pour autre chose. Et il ne s’agit pas de quelque chose de drôle. En effet, il s’agit de cette affaire dans laquelle il est inculpé.
Tout commence le 10 février où il a provoqué un accident de voiture. A souligner que l’humoriste était au volant sous l’influence de la cocaïne. Au bilan, trois victimes dont une femme enceinte qui a perdu son bébé à cause du choc. Cette affaire ne restera pas sans suite. En effet, le procès de l’humoriste est pour bientôt.
Une situation difficile pour Pierre Palmade
Actuellement, Pierre Palmade est toujours à l’hôpital. En effet, il a été gravement blessé suite à cet accident et est encore en train de suivre des soins. D’ailleurs, cela lui a évité la prison. En effet, les victimes ont réclamé son placement en détention à la justice, et ce jusqu’à l’arrivée de son procès. Mais la justice en a décidé autrement.
Vu son état de santé, il n’aurait pas supporté la prison. Ainsi, au lieu de cela l’humoriste est sous contrôle judiciaire. Mais il lui est interdit de quitter son hôpital. Heureusement, il a encore droit à des visites.
Un autre grand problème
Le moins que l’on puisse dire c’est que Pierre Palmade n’est pas au bout de ses surprises. En effet, les ennuis s’accumulent. Désormais, en plus de ses problèmes avec la justice, il doit faire face à des problèmes d’argent. Sa sœur Hélène a révélé aux enquêteurs que l’humoriste a accumulé 250 000 euros de dettes auprès de l’Urssaf, des impôts et de son producteur.
Or, il n’a presque plus d’argent. En effet, il ne peut plus se produire sur scène. Le peu qu’il reçoit, 5000 euros par mois, vient de ses droits d’auteurs. Ainsi, il avait prévu de vendre son corps de ferme de plus de 430 m². Mais la vente a été suspendue en raison d’un trop grand nombre d’appels de curieux souhaitant simplement visiter les lieux, sans intention de l’acheter.