Pour cette nouvelle année, la CAF a émis de nouvelles règles concernant les aides sociales comme la prime d’activité. D’ailleurs, une revalorisation a eu lieu vue l’inflation.

De nouvelles règles pour la nouvelle année


Face à l’inflation qui monte en flèche, beaucoup de français ont du mal à arrondir leurs fins de mois. D’ailleurs, face au pouvoir d’achat qui est en chute libre, de moins en moins de foyers arrivent à joindre les deux bouts. Ainsi, des millions de personnes comptent sur les prestations sociales de la CAF pour survivre.

En effet, il s’agit d’une véritable bouée qui empêche certaines personnes de se noyer dans les dettes et la pauvreté. Ainsi, ces personnes se doivent d’être à jour concernant les nouvelles règles qui régissent ces aides. Par exemple, comme la Caisse d’Allocations Familiales a mis en place de nouvelles règles pour au sujet de la prime d’activité, les bénéficiaires doivent être au courant de ces changements.

Une revalorisation de la prime d’activité est prévue


Comme la situation n’est pas près de s’améliorer, la majorité des aides ont été revues à la hausse. Ainsi, tout comme l’année dernière, les aides de la CAF, dont la prime d’activité, seront revalorisées de 4%. Tout cela a été possible grâce à la nouvelle loi sur le pouvoir d’achat. Ainsi, les bénéficiaires de ces aides seront contents. D’ailleurs, outre cette prime, d’autres prestations sociales sont concernées.

Par exemple, il y a le revenu de solidarité active, l’aide personnalisée au logement ou encore l’allocation aux adultes handicapés. Mais il est nécessaire de revoir les conditions d’attributions de chacune d’entre elles. Cela vous permettra de savoir où vous vous situez concernant ces aides sociales.

Les conditions d’attribution sont à vérifier


D’abord, il faut savoir que les conditions d’attribution des aides comme la prime d’activité sont revues tous les 1 er janvier. Il est donc important de se mettre à jour chaque année. Ainsi, les critères pour être bénéficiaire ont été un peu modifiés. D’abord, il faut avoir au moins 18 ans. Ensuite, il faut résider en France au moins 9 mois dans l’année.

Puis, il faut avoir un travail et recevoir une indemnisation de chômage partiel ou technique. Enfin, condition non négligeable, il faut être de nationalité française. Dans le cas contraire, il faut être un citoyen de l’Espace économique européen ou avoir un titre de séjour valable depuis minimum cinq ans.