Une fois de plus, une mauvaise nouvelle vient de tomber pour les automobilistes. À quoi devrait-on encore s’attendre avec cette crise ? Les prochains jours seront bien plus pénibles pour ceux qui doivent utiliser leur voiture au quotidien. On vous dévoile les détails.
De nouveaux changements chaque année
Tout le monde change. D’ailleurs, il se peut que tout le monde soit habitué à quelques changements qui sont adoptés chaque année. Cependant, dans certains cas, il y en a qui engendre quelques soucis spécifiques. Cela peut toucher de nombreux domaines.
Le plus médiatisé de cette année est le changement de prix de certains produits. Tout y passe, comme les produits alimentaires, le gaz, le tabac et bien d’autres encore. Il y arrive parfois que certaines aides gouvernementales fassent l’objet d’un changement pour le grand bonheur des bénéficiaires… ou pas.
Par ailleurs, la dernière en date concerne les automobilistes. C’est certain, cette mauvaise nouvelle va attiser la colère de certaines personnes.
Mauvaise nouvelle pour les automobilistes, le prix du carburant à la hausse
En raison de la crise actuelle, le secteur de l’énergie n’est pas épargné. En effet, cette mauvaise nouvelle serait comme une douche froide pour les automobilistes. Concrètement, cela concerne le carburant. Ces dernières années, le prix du carburant était constamment à la hausse créant quelques appréhensions.
Certes, il y a eu une ristourne, mais l’heureuse nouvelle n’a été que de courte durée. D’ailleurs, les prix du carburant vont connaitre une augmentation dans quelques jours. C’est le résultat d’une baisse de la production.
En effet, selon la révélation des pays producteurs comme l’Irak, l’Algérie, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Oman et le Koweït, cette diminution prendra effet en mai et continuera jusqu’à la fin de cette année.
Par ailleurs, les productions alternatives types pétrole de schiste auront du mal à compenser cette baisse. Apparemment, un sous-investissement chronique à l’échelle mondiale dans l’exploration et l’infrastructure pétrolières serait en cause.
Par conséquent, il faut s’attendre à une augmentation de 5 à 10 dollars par baril. Ce qui veut dire, une hausse de 5 à 10 centimes par litre à la pompe.