Un bug informatique se retrouve à l’origine de ce retard de versement pour l’Indemnité carburant de 100 euros, selon les explications. Dans ce sens, la décision de simplifier la démarche en proposant un délai de traitement moyen de 14 jours crée problème. En même temps, les responsables soulignent que près de la moitié des personnes concernées ont déjà reçu leur indemnité.

Un bug informatique en cause


En effet, une information de RMC ce jeudi évoque ce retard de versement pour l’Indemnité carburant de 100 euros.
Dans ce sens, de nombreux automobilistes qui attendent la prime ne la perçoivent pas à cause de ce bug informatique.
En même temps, ces personnes concernées ne connaissent même pas la raison de ce retard de versement.
Et pourtant, le gouvernement s’était vanté d’avoir simplifié la démarche en proposant un délai de traitement moyen de 14 jours.

Cependant, la machine se retrouve face à un bug et retarde le versement de cette indemnité tant convoitée par les automobilistes.
Notamment, la plateforme subit déjà un bug au mois de janvier dernier par rapport à l’enregistrement des demandes des automobilistes.
Néanmoins, ils parviennent à résoudre le problème concernant l’ancien système d’immatriculation (avant 2009) vers la fin du mois de février.
Par ailleurs, 100.000 dossiers se retrouvent refusés à cause de problèmes de transmission de données entre les assureurs et les services de l’Etat.

Retard de versement pour l’Indemnité carburant de 100 euros


En effet, certains demandeurs ignorent la raison de ce retard de versement pour l’Indemnité carburant de 100 euros.
Dans ce sens, la station parvient à faire accepter le dossier d’une auditrice grâce à sa rubrique « RMC s’engage pour vous ».
Cependant, le délai de traitement rallongé provient de la perte du RIB qu’elle avait pourtant transmis sans qu’elle soit notifiée du problème.
Apparemment, le ministère de l’Economie reconnait suite aux interrogations de la radio que des bugs informatiques retardent la procédure.

En même temps, Bercy rajoute que comme il s’agit d’argent public, il faut procéder à un maximum de vérifications.
Par ailleurs, le cabinet du ministre rapporte six millions de demandes effectuées depuis le lancement de ce dispositif.
Notamment, les services préfèrent se concentrer sur le fait que « plus de la moitié des primes » ont été versées.
D’un autre côté, cette prime qui devait s’arrêter initialement le 28 février peut être demandée jusqu’au 31 mars.