La fin tragique du chat Neko écrasé par un TGV entraine le fait que la SNCF se retrouve torpillée par 30 millions d’amis. Dans ce sens, Giorgia, et sa jeune fille, Mélaïna ont supplié les agents de la SNCF de retarder le train mais en vain. Par conséquent, ce drame qui se produit à Paris, en pleine Gare de Montparnasse le 15 janvier dernier crée une véritable polémique.

Neko écrasé par un TGV


En effet, SNCF torpillée par 30 millions d’amis doit cette situation à la fin tragique du chat Neko.
Dans ce ses, le chat, effrayé, s’était échappé de son panier et trouve refuge sous le train, à Paris, en pleine Gare de Montparnasse.
Par la suite, Giorgia, et sa jeune fille, Mélaïna parviennent finalement à le retrouver et décident d’avertir les agents de la SNCF.
Et pourtant, ces-derniers n’ont accordé aucune importance à la requête des propriétaires du chat en désespoir.

Notamment, ils se contentent juste de répondre que ce n’est pas leur problème, elles auraient dû garder leur chat en laisse.
Par conséquent, le chat qui s’appelle Neko finit par perdre la vie d’une manière tragique, il se retrouve écrasé par un TGV.
En même temps, l’association 30 millions d’amis ne manque pas de condamner cette indifférence des équipes de la SNCF.
Apparemment, la maman de Malaïna ne savait plus comment réagir face à cette indifférence qui l’a paralysée sur le coup.
Elle confie « J’ai vu Neko courir sous le train et puis plus rien. Puis, on le voit, coupé en deux. C’était tellement violent ! »

SNCF torpillé par 30 millions d’amis


En effet, l’association 30 millions d’amis souligne que la société ferroviaire a une responsabilité importante dans ce tragique incident.
Dans ce sens, la présidente de l’association rapporte leur décision de poursuivre en justice le SNCF à cause de cette cruauté.
Apparemment, l’animal était en règle puisque ses maîtresses s’étaient acquittées d’un billet pour qu’il puisse voyager en toute légalité.
En d’autres termes, Neko fait donc partie des passagers, et pourtant il se retrouve écraser par un TGV.

Par conséquent, la SNCF torpillée par 30 millions d’amis pourrait risquer une peine de 75 000 euros d’amende et de cinq ans d’emprisonnement.
Notamment, l’avocat de l’association parle d’un délit de sévices graves et actes de cruauté ayant entraîné la mort d’un animal.
De plus, il rajoute sur le site de la fondation « L’animal est un être vivant doué de sensibilité. On ne peut pas faire n’importe quoi avec le vivant ».
D’un autre côté, un porte-parole de la SNCF déclare pour se justifier que descendre sur les voies électrifiées représente un danger.
De plus, il y a d’autres trains qui passent sur les voies, ils ne peuvent pas arrêter la circulation aussi facilement.