TPMP : une chroniqueuse divulgue les gestes déplacés d’un célèbre avocat, il lui a caressé l’entre-jambes

TPMP est le meilleur des émissions lorsqu’il s’agit de débattre sur des sujets sensibles ou celles qui sont importantes. De plus, l’ambiance est toujours au rendez-vous au sein de l’équipe de Cyril Hanouna. Le 19 janvier dernier, l’animateur et ses chroniqueurs ont évoqué la révélation de Karima Charni. Un débat qui a fait remonter de mauvais souvenirs pour la chroniqueuse Isabelle Morini-Bosc.

TPMP met en avant une chroniqueuse victime d’agressions

Isabelle Morini-Bosc fait partie des chroniqueurs de TPMP. Bien évidemment, vu son expérience, son témoignage pèse lourd dans la balance. Effectivement, TPMP a remis sur la table les révélations poignantes de Karima Charni, journaliste sur LCI aujourd’hui. Isabelle Morini-Bosc lui a apporté son soutien. Elle était dans l’émission Lovin’Fun sur Fun Radio. En effet, l’ambiance au travail était compliquée, car il n’y avait que des hommes. Ainsi, elle a dû faire face à des comportements déplacés à longueur de temps, une ambiance qui la faisait souffrir. Suite à tous cela, elle a fait de révélations-chocs auprès d’Evelyne Thomas chez « Non Stop People ». À cause de ces évènements, elle a même perdu 11 kilos en trois semaines.

Quand ce sujet est débattu sur TPMP, tous les chroniqueurs ont donné leurs avis. Ainsi, Isabelle Morini-Bosc a parlé d’un passé tourmenté. Elle souligne que toute femme travaillant dans ces conditions a dû faire face à ce genre de truc. C’est la raison pour laquelle, elle croit aux confidences de la jeune femme. Aussi, elle croit que bon nombre de personnes subissent les mêmes choses qu’elle, mais n’osent pas en parler. À première vue, la chroniqueuse a aussi subi ce genre d’agression.

Un horrible souvenir pour Isabelle Morini-Bosc

Effectivement, Isabelle Morini-Bosc a relaté comment un avocat a essayé de passer sa main entre ses cuisses lors d’un déjeuner. Évidemment pour ne pas se laisser faire, elle était obligée de serrer ses jambes pour bloquer la main de l’avocat en question. D’après la chroniqueuse, toute femme a droit à ce genre de traitement dans son lieu de travail. Mais cela c’était avant le mouvement « Me Too ». Vraisemblablement, l’avocat a même déjà réservé une chambre d’hôtel, mais Isabelle Morini-Bosc ne l’a pas suivi. La chroniqueuse de Cyril Hanouna n’a pas voulu divulguer le nom de ce fameux avocat. D’après elle, à notre époque, il faut prendre son courage à deux mains et décider de briser le silence.