Une crêperie est poursuivie en justice par un voisin mécontent. Ce serait en raison des nuisances sonores et olfactives qui le dérangent à cause de l’activité de l’établissement. Par ailleurs, à noter que ce n’est pas la première fois que le plaignant le traduit en justice.
Une crêperie poursuivie en justice, un voisin porte plainte
Une crêperie en Bretagne fait l’objet d’une plainte. Il s’agit d’un conflit entre voisins dans le même quartier résidentiel. Depuis plusieurs années, un particulier qui habite non loin de la crêperie se plaint de l’odeur ainsi que des bruits qui dégagent de cet établissement. D’après la confidence de Marlène Dupont, co-gérante de la Crêperie du Pêcheur, le plaignant n’accepte pas que son appartement « sente trop la crêpe ».
L’ancien propriétaire de la crêperie a cédé son affaire à cette dernière qui est consciente de ce problème. En effet, Marlène Dupont et Alex Polge ont voulu organiser des soirées à thème. Mais leur projet a fait réfléchir celui qui est à la tête de la crêperie en 2009. Il aurait peur que le bruit dérange les voisins.
Les actions des nouveaux propriétaires contre les bruits et les odeurs de leur crêperie
Le couple vient de l’Aube pour s’installer à Erquy pour reprendre l’activité. Pour pouvoir réaliser leur rêve, ils ont fait beaucoup d’investissement. Ils ont même fait des empruntés beaucoup d’argent, a confié Alex Polge.
Selon Marlène Dupont, ils sont des gens honnêtes. De ce fait, ils ont tout fait pour résoudre ce problème. Ils ont fait beaucoup de travaux pour afin d’apaiser leur voisin. Le couple a même opté pour des rénovations équipées d’un silencieux ou encore pour la construction d’une veranda fermée à double vitrage. Ainsi, ils ont dépensé environ 170 000 euros. Par la suite, ils ont condamné les places de parking. Les personnels sont également priés de limiter la gêne sonore.
Cependant, malgré les efforts, la situation reste inchangée. Celui qui a poursuivi en justice la crêperie espère sa fermeture. Il souhaite vivre de nouveau dans un environnement loin des odeurs et des bruits. De leur côté, les propriétaires ont lancé une pétition dans l’attente de leur assignation en justice qui sera le 16 février prochain.