Une nouvelle arnaque vient d’être mise en lumière par les autorités. Elle peut entraîner une perte de 300 à 700 euros sur le compte en banque des victimes. Le libellé indique un transfert d’argent pour des travaux vers une entreprise fictive.

Une nouvelle arnaque fait rage en France

De plus en plus de Français se sont plaints d’une nouvelle fraude bancaire. En effet, il y en a qui ont perdu jusqu’à 650 euros sur le compte en banque. Apparemment, il y aurait eu des frais de travaux de maintenance vers une entreprise qui porterait le nom d’ENS.

Par ailleurs, si les victimes ont tenté de faire opposition, ils n’ont pas pu être remboursés. Comme explication, c’est certain qu’il y a une faille dans le système de sécurité bancaire. Dans ce sens, les clients ne sont pas du tout à l’abri de fraudes.

Des arnaques similaires pointées du doigt

D’autres victimes se sont également plaintes à propos des escroqueries similaires sur le site de Signal Arnaque. Il se murmure que les malfaiteurs ont accès aux fichiers contenant plusieurs numéros de compte bancaire.

Par la suite, ces derniers demandent aux institutions bancaires d’effectuer des prélèvements. Ne sentant pas qu’il s’agit d’une fraude, les responsables de la banque vont exécuter la transaction. Parfois, les victimes observent que leur compte a été débité de 700 euros, la somme maximale.

Dans ce cas, il y a de réels soucis à se faire puisque les escrocs disposent de moyen pour accéder aux informations des clients de la banque. Une manière de confirmer que les malfaiteurs débordent d’imagination pour tromper et dépouiller leurs victimes.

Bonne nouvelle, une possibilité de remboursement


Face à cette nouvelle arnaque et fraude bancaire, les victimes peuvent faire opposition sur leur compte bancaire.
En effet, les banques devront rembourser leur client. Cependant, le remboursement dépend de la situation. Comme la législation européenne l’a souligné, un prélèvement non autorisé effectué dans l’EEE depuis moins d’un an et un mois peuvent être remboursés par la banque.

À condition bien sûr que l’institution bancaire fournisse une preuve de l’autorisation du prélèvement. Quant aux prélèvements SEPA, ils peuvent être annulés deux mois après la transaction.