Michaël a été victime d’une usurpation d’identité. Jusqu’à maintenant, il n’a toujours pas reçu son remboursement de 60 000 euros.
Les escroqueries se multiplient
Actuellement, les temps sont durs. Depuis la pandémie, les malheurs s’enchaînent. En effet, tous les secteurs sont en crise. Le prix du carburant ne cesse d’augmenter et l’inflation fait rage. Sans oublier le pouvoir d’achat de chacun qui ne cesse de diminuer. De plus en plus de familles sont dans le rouge. Les foyers n’arrivent plus à joindre les deux bouts entre le paiement des factures et les dépenses obligatoires.
Ainsi, beaucoup se tournent vers l’Etat pour recevoir des aides sociales. Heureusement que la Caisse d’Allocations Familiales est là pour venir à leur secours. Mais un bon nombre de personnes préfèrent se tourner vers des manœuvres frauduleuses pour pouvoir s’enrichir. C’est pour cette raison que les arnaques et les escroqueries se multiplient. La forme la plus répandue est l’usurpation d’identité.
Michaël, un homme victime d’usurpation d’identité
Michaël est un parisien âgé de 39 ans. Il y a quatre ans, il a été victime d’escroquerie. En effet, une personne s’est fait passer pour lui pour contracter un crédit. Il s’agit donc d’une usurpation d’identité. L’escroc s’est servi de son identité pour contracter un crédit afin d’acheter une voiture.
L’affaire a été amenée devant la justice. Ainsi, le juge s’est prononcé et Michaël a droit à un remboursement de 60 000 euros. L’organisme de crédit Cetelem doit alors lui rembourser cette somme.
Quatre années plus tard, toujours pas remboursé
Le juge a ordonné à l’organisme de crédit Cetelem de rembourser Michaël. En effet, comme il n’a jamais contracté le crédit, il se doit d’être remboursé. Mais l’organisme fait la sourde oreille. Ainsi, cela fait quatre ans qu’il attend son remboursement. Le cas de Michaël n’est pas un cas isolé. En effet, beaucoup de français victimes d’escroquerie subissent ce retard de remboursement.
D’ailleurs, selon certains, les organismes devant rembourser font cela dans le but de faire oublier le remboursement au concerné. Fatigué de réclamer la somme, ce dernier finira bien, tôt ou tard, par laisser l’organisme tranquille. Mais ce n’est pas le cas de Michaël. Même quatre années plus tard, il attend et réclame son remboursement.